Arrêt de T et taux : question sur le "retour à la normale"...
Posté : 07 août 2024 00:01
Bonjour,
Voilà un an que j'ai arrêté la T pour des raisons personnelles très diverses et variées (projet de parentalité, notamment, qui est le plus important), mais j'ai remarqué des petites choses de l'ordre de l'intrigue. Pour précision, j'ai eu des injections de 0.3 (six mois) à 0.5 (trois mois) pendant ma période de traitement hormonal.
Cependant, malgré mon arrêt de T, quelques caractères secondaires persistent, à savoir :
- une pilosité qui semble continuer à se développer au visage (pattes et menton qui cherchent à se rejoindre en collier) ;
- des périodes d'activité sexuelle qui ne coïncident pas avec le retour de mon cycle hormonal basal, des périodes très aléatoires ;
- une re-répartition des graisses étrange, soit le fait que je n'ai pas repris des fesses malgré l'arrêt de T et une prise de poids.
En ce sens, je me demandais si la T qui a été injectée durant la période du traitement a pu avoir une influence sur la production originelle de cette hormone sur mon organisme ? Ou si celui-ci est devenu davantage réceptif aux hormones androgènes dispensées naturellement par et dans mon corps ?
Il faut savoir que les personnes AFAB de ma famille sont soit très réceptives (ma mère a un duvet très épais et très noir au-dessus de la bouche, et une voix très grave) ou ont le SOPK. Comme il n'y a pas eu de nouvelles échographies de mon appareil reproducteur depuis des années, je ne sais pas si j'ai développé une sorte de SOPK avec la prise d'hormonothérapie. Ce serait peut-être à creuser...
J'ai cherché à avoir une prescription d'analyse de sang, pour voir le taux de testostérone dans mon sang, mais mon médecin traitant refuse, bien que je lui parle de mon envie de devenir parent. Il m'a dit : "vos cycles sont revenus, donc vous êtes fertile", mais bon, je connais bien des femmes qui ont leurs règles mais n'ont pas de très grandes chances de devenir mère, alors...
Bref, je suis perdu.
De ce fait, je voulais savoir si quelqu'un.e avait une expérience similaire à la mienne, et donc de quoi éclairer ma lanterne.
En vous souhaitant une bonne journée !
Voilà un an que j'ai arrêté la T pour des raisons personnelles très diverses et variées (projet de parentalité, notamment, qui est le plus important), mais j'ai remarqué des petites choses de l'ordre de l'intrigue. Pour précision, j'ai eu des injections de 0.3 (six mois) à 0.5 (trois mois) pendant ma période de traitement hormonal.
Cependant, malgré mon arrêt de T, quelques caractères secondaires persistent, à savoir :
- une pilosité qui semble continuer à se développer au visage (pattes et menton qui cherchent à se rejoindre en collier) ;
- des périodes d'activité sexuelle qui ne coïncident pas avec le retour de mon cycle hormonal basal, des périodes très aléatoires ;
- une re-répartition des graisses étrange, soit le fait que je n'ai pas repris des fesses malgré l'arrêt de T et une prise de poids.
En ce sens, je me demandais si la T qui a été injectée durant la période du traitement a pu avoir une influence sur la production originelle de cette hormone sur mon organisme ? Ou si celui-ci est devenu davantage réceptif aux hormones androgènes dispensées naturellement par et dans mon corps ?
Il faut savoir que les personnes AFAB de ma famille sont soit très réceptives (ma mère a un duvet très épais et très noir au-dessus de la bouche, et une voix très grave) ou ont le SOPK. Comme il n'y a pas eu de nouvelles échographies de mon appareil reproducteur depuis des années, je ne sais pas si j'ai développé une sorte de SOPK avec la prise d'hormonothérapie. Ce serait peut-être à creuser...
J'ai cherché à avoir une prescription d'analyse de sang, pour voir le taux de testostérone dans mon sang, mais mon médecin traitant refuse, bien que je lui parle de mon envie de devenir parent. Il m'a dit : "vos cycles sont revenus, donc vous êtes fertile", mais bon, je connais bien des femmes qui ont leurs règles mais n'ont pas de très grandes chances de devenir mère, alors...
Bref, je suis perdu.
De ce fait, je voulais savoir si quelqu'un.e avait une expérience similaire à la mienne, et donc de quoi éclairer ma lanterne.
En vous souhaitant une bonne journée !