Vivre en collectivité imposée
Posté : 19 sept. 2021 19:16
Comme je l'ai écrit dans mon post de présentation, malgré mon grand âge, j'ai repris des études dans le social.
Il se trouve que pour ma deuxième année, l'école impose deux semaines dites de "mobilité" pour nous confronter à la vie collective. Pour l'une des 2 semaines, je vais me débrouiller pour faire les A/R à la journée mais pour l'autre la distance rendra cela tout à fait impossible. En soi le projet n'est pas inintéressant (il s'agit d'aller passer une semaine de bénévolat auprès d'une asso qui vient en aide aux migrants). Mais là où ça ne convient pas, c'est la vie en collectivité, avec forcément un partage d'intimité (lieu de couchage, sdb, etc... etc...) et je n'ai pas envie pendant une semaine d'avoir à faire attention à ce que rien ne me trahisse. Ma promo est plutôt jeune et eux n'ont aucun souci avec la promiscuité. Moi, c'est clair, je ne veux pas. J'ai besoin d'avoir mon intimité et d'être sûr que personne n'apercevra les cicatrices que j'ai sur le torse ni la platitude de mon caleçon... Bref, ce truc (obligatoire) qui est prévu au mois d'avril va me pourrir mon année et alors que je suis à fond dans ma formation, je me demande si cela ne va pas me pousser à l'arrêter.
Est-ce que vous avez déjà été confrontés à une situation de ce type ?
Il se trouve que pour ma deuxième année, l'école impose deux semaines dites de "mobilité" pour nous confronter à la vie collective. Pour l'une des 2 semaines, je vais me débrouiller pour faire les A/R à la journée mais pour l'autre la distance rendra cela tout à fait impossible. En soi le projet n'est pas inintéressant (il s'agit d'aller passer une semaine de bénévolat auprès d'une asso qui vient en aide aux migrants). Mais là où ça ne convient pas, c'est la vie en collectivité, avec forcément un partage d'intimité (lieu de couchage, sdb, etc... etc...) et je n'ai pas envie pendant une semaine d'avoir à faire attention à ce que rien ne me trahisse. Ma promo est plutôt jeune et eux n'ont aucun souci avec la promiscuité. Moi, c'est clair, je ne veux pas. J'ai besoin d'avoir mon intimité et d'être sûr que personne n'apercevra les cicatrices que j'ai sur le torse ni la platitude de mon caleçon... Bref, ce truc (obligatoire) qui est prévu au mois d'avril va me pourrir mon année et alors que je suis à fond dans ma formation, je me demande si cela ne va pas me pousser à l'arrêter.
Est-ce que vous avez déjà été confrontés à une situation de ce type ?